Des tirs de roquettes contre une base militaire en Irak ont fait trois morts mercredi, dont deux soldats américain et britannique, marquant une escalade dans les tensions entre Washington et ses alliés d’une part, et Téhéran et ses supplétifs de l’autre.
Après cette attaque, la plus meurtrière recensée depuis plusieurs années contre une base abritant des soldats américains, des raids aériens ont visé des positions de supplétifs de l’Iran à la frontière entre l’Irak et la Syrie, a indiqué à l’AFP le directeur de l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane. Ces raids ont tué 18 paramilitaires irakiens, selon la même source.
Lors d’une conversation téléphonique, le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo et son homologue britannique Dominic Raab ont “réitéré la solidarité” de leurs pays et ont exigé que les auteurs des attaques “rendent des comptes”, selon le département d’Etat américain.
Ces tirs de roquettes sont la 22e attaque depuis la fin octobre contre des intérêts américains en Irak. Ils n’ont pas été revendiqués, mais Washington, qui dirige la coalition internationale antijihadiste en Irak, attribue régulièrement ces attaques aux factions irakiennes pro-Iran.
Après les raids aériens, qui pourraient être des représailles, le spectre de nouvelles violences plane en Irak, où les tensions entre les deux grands alliés du pouvoir à Bagdad, Téhéran et Washington, ont déjà dégénéré ces derniers mois.
“Dix explosions”
Deux soldats, l’un américain et l’autre britannique, ainsi qu’un employé d’une entreprise sous-traitante américain, ont été tués mercredi soir sur la base irakienne de Taji, au nord de Bagdad, a indiqué à l’AFP un responsable militaire américain.
Le Pentagone a confirmé dans un communiqué la mort de trois membres de la coalition, dont deux Américains. Douze autres personnes ont été blessées dans cette attaque, qui fait l’objet d’une enquête, a précisé le ministère américain de la Défense.
Des tirs de roquettes contre une base militaire en Irak ont fait trois morts mercredi, dont deux soldats américain et britannique, marquant une escalade dans les tensions entre Washington et ses alliés d’une part, et Téhéran et ses supplétifs de l’autre.
Après cette attaque, la plus meurtrière recensée depuis plusieurs années contre une base abritant des soldats américains, des raids aériens ont visé des positions de supplétifs de l’Iran à la frontière entre l’Irak et la Syrie, a indiqué à l’AFP le directeur de l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane. Ces raids ont tué 18 paramilitaires irakiens, selon la même source.
Lors d’une conversation téléphonique, le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo et son homologue britannique Dominic Raab ont “réitéré la solidarité” de leurs pays et ont exigé que les auteurs des attaques “rendent des comptes”, selon le département d’Etat américain.
Ces tirs de roquettes sont la 22e attaque depuis la fin octobre contre des intérêts américains en Irak. Ils n’ont pas été revendiqués, mais Washington, qui dirige la coalition internationale antijihadiste en Irak, attribue régulièrement ces attaques aux factions irakiennes pro-Iran.
Après les raids aériens, qui pourraient être des représailles, le spectre de nouvelles violences plane en Irak, où les tensions entre les deux grands alliés du pouvoir à Bagdad, Téhéran et Washington, ont déjà dégénéré ces derniers mois.
“Dix explosions”
Deux soldats, l’un américain et l’autre britannique, ainsi qu’un employé d’une entreprise sous-traitante américain, ont été tués mercredi soir sur la base irakienne de Taji, au nord de Bagdad, a indiqué à l’AFP un responsable militaire américain.
Le Pentagone a confirmé dans un communiqué la mort de trois membres de la coalition, dont deux Américains. Douze autres personnes ont été blessées dans cette attaque, qui fait l’objet d’une enquête, a précisé le ministère américain de la Défense.
